Se former sur les Soft Skills, un indispensable !
Publié le : 29 février 2024Faire preuve de créativité, avoir du leadership ou savoir gérer son stress n’est pas toujours inné pour tout le monde. Mais surtout, pas de panique ! Ces compétences s’apprennent et se développent à n’importe quel moment de votre vie. Chez Softeam, les formations techniques sont essentielles mais celles dédiées aux soft skills le sont tout autant, et on vous dit pourquoi !
SOFT SKILLS : DES COMPÉTENCES TRANSVERSES À NE PAS DÉLAISSER
Les soft skills, c’est quoi ? Pour faire simple, c’est l’ensemble des aptitudes et compétences qui ne sont pas techniques et qui vous permettent d’évoluer dans notre vie personnelle et professionnelle. En d’autres termes, si vous souhaitez passer de simple Jedi à une version 2.0 de Maître Yoda, dirigez-vous vers les soft skills.
A mi-chemin entre compétences techniques et développement personnel, les soft skills ne se limitent pas à un seul domaine de compétence mais elles s’appliquent partout et tout le temps.
Pour que cette notion de Soft skills soit plus concrète, voici quelques exemples :
- La gestion du stress : bien gérer son stress c’est simple en théorie mais dans la pratique c’est toujours plus complexe.
Entre nos émotions et les situations parfois compliquées auxquelles nous sommes confrontés, le stress fait partie intégrante de notre quotidien. Le tout est d’apprendre à le canaliser.
- L’esprit d’équipe : “Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin”. Si cette phrase existe, ce n’est pas par hasard. L’esprit d’équipe est primordial. Pourquoi ? Pour une meilleure communication et améliorer votre productivité.
- La créativité : développer cette compétence c’est développer son ouverture d’esprit et être source d’innovation. Après tout, Jules Verne n’a pas écrit 20 milles lieux sous les mers en 1 semaine. Il lui a fallu du temps pour travailler sa créativité.
Ces compétences “douces” ont longtemps été mises de côté mais aujourd’hui elles sont primordiales pour gagner en efficacité mais surtout pour votre bien-être au quotidien.
LA FORMATION DES SOFT SKILLS, UN ENJEU POUR LES ENTREPRISES
Le monde du travail évolue à vitesse grand V et les compétences techniques, elles aussi. Il faut donc savoir faire preuve d’agilité pour rester à la page. Prenons par exemple l’UX design, un secteur d’activité qui évolue en fonction des utilisateurs (autant dire qu’il évolue très très vite 🙂). Comment voulez-vous développer vos compétences techniques sans affecter votre charge de travail ? C’est à ce moment-là que les soft skills entrent en jeu. Si vous apprenez à gérer votre temps, à prendre du recul ou à être organisé, tout devient plus simple et votre quotidien ne sera plus qu’un long fleuve tranquille.
En quelques mots, nous pouvons dire que miser sur ses soft skills, c’est assurer son développement professionnel sur le court comme sur le long terme.
Dans cette logique et pour accompagner au mieux ses collaborateurs dans leur développement de carrière, Softeam propose des formations pour aider chaque collaborateur à mettre en lumière ces compétences.
CHEZ SOFTEAM, LE DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL PASSE FORCÉMENT PAR LES SOFT SKILLS
Que cela concerne nos consultants ou nos équipes de managers, les soft skills prennent toute leur importance dans le développement de leur carrière.
Fatiha BAHRAOUI, manager chez Softeam, nous partage son point de vue sur l’importance de ces compétences « douces » dans son quotidien et celui de ses consultants :
« De nos jours, c’est très important d’être à l’aise avec la notion de soft skills. Je pense qu’elles sont aussi indispensables que les compétences techniques, si ce n’est plus.
En tant que manager, se former sur ces compétences est essentiel. Au quotidien, nous devons faire preuve d’écoute, de bienveillance et de transparence et cela, ça s’apprend et se développe.
De plus, être manager nécessite aussi de savoir gérer plusieurs profils avec des personnalités différentes. Le maître-mot est donc l’adaptabilité, et ça aussi, ça s’apprend ! Moi-même, je me forme régulièrement. Je lis beaucoup d’ouvrages et j’écoute des podcasts car c’est très formateur.
Pour nos consultants aussi, se former sur les soft skills est devenu primordial. Les attentes de nos clients ont changé et leurs exigences sont de plus en plus fortes avec, notamment, l’introduction de l’agilité. Ils veulent que leurs projets brillent et sont à la recherche de profils pouvant les mettre en avant. Mais pour ça, les compétences techniques ne suffisent pas. J’aime proposer à mes consultants de suivre des formations dédiées aux soft skills pour qu’ils puissent développer leur leadership et leur esprit d’équipe.
Il ne faut pas oublier que nous avons la chance d’avoir notre propre organisme de formation interne, Softeam Institute, qui propose diverses formations, notamment pour la prise de parole. «
SOFTEAM PROPOSE DES FORMATIONS DÉDIÉES POUR SES COLLABORATEURS
Softeam accompagne chacun de ses collaborateurs et leur donne les mêmes opportunités en mettant à leur disposition des moyens de se former.
Cela peut passer par de la formation classique et des coachings. Nos managers accompagnent nos consultants dans cette démarche. Jeux de rôle, échanges de tips et feedbacks, les coachings sont un moyen facile de développer ses soft skills en douceur.
En parallèle, les collaborateurs peuvent se former sur des plateformes indépendantes et en toute autonomie.
Notre partenaire Edflex, par exemple, propose, en plus des formations métier, une catégorie dédiée aux soft skills avec des contenus variés. Entre les podcasts pour améliorer sa prise de décision, des vidéos pour apprendre à maximiser son potentiel et articles sur la gestion du stress, Edflex met à dispositions de nombreuses ressources pour booster ses softs skills.
Mais Softeam possède plusieurs cordes à son arc pour accompagner nos collaborateurs dans cette démarche. Notre organisme de formation, Docaposte Institute, met en place de nombreuses formations dédiée. Celles que nos collaborateurs préfèrent sont celles liées à la gestion du stress et à la communication.
Articles - 5 min
Pourquoi la reconnaissance est le carburant de la motivation ? 🚀
Spoiler alert : non, les gens ne travaillent pas juste pour un salaire. Ça compte mais c’est n’est pas ce qui donne envie de se lever chaque matin et de donner le meilleur de soi-même, de se dépasser et de rester. Il y a autre chose, de plus subtil, plus humain, plus fondamental – et pourtant trop souvent oublié ou mal compris : la reconnaissance. Et si on vous expliquait pourquoi la reconnaissance, c’est un peu comme le super carburant de la motivation ? La reconnaissance, ce n’est pas (que) dire merci On a tous déjà reçu un “bravo” lancé entre deux portes. Et c’est déjà bien. Mais soyons honnêtes : la reconnaissance, la vraie, celle qui fait mouche, va beaucoup plus loin que ça. Elle ne se limite pas à un « merci” : elle se construit dans la précision, l’intention et surtout le moment choisi. C’est un message qui doit arriver au bon moment et avoir du sens – pas 3 mois plus tard car c’est l’heure du bilan de l’année. Reconnaître quelqu’un ne consiste pas seulement au fait de valider son action. C’est lui dire : “Je t’ai vu. J’ai vu tout ce que tu as apporté. Ce que tu donnes au quotidien. Et tout ça a de la valeur.” Et ce, qu’il s’agisse d’une grande réussite ou d’un effort discret mais décisif. Et cette reconnaissance-là laisse une trace. Elle renforce l’identité professionnelle, donne du sens au travail, et crée un lien de confiance. Booster la motivation sans épuiser les batteries Le besoin de [...]
Articles - 5min
Top 5 des clichés sur les ESN… qu’on entend encore en 2025 (et qu’il est temps d’enterrer)
On pourrait croire qu’en 2025, les ESN auraient fini de traîner leurs vieux clichés. Et pourtant, certains persistent. Entre idées reçues, raccourcis un peu rapides et visions dépassées du métier de consultant, les fausses représentations ont la vie dure et sont tenaces. Chez Softeam, on a décidé de les prendre à bras-le-corps. Parce que non, travailler en ESN, ce n’est pas “juste un tremplin” ou “être baladé de client en client sans repères”. C’est souvent tout l’inverse. 💬 Cliché 1 : “Les consultants sont des mercenaires de la tech” Ce qu’on entend : “On t’envoie là où il y a du besoin, tu exécutes, tu repars.” Ce que l’on vit : nos consultants sont engagés, écoutés, et intégrés dans une vraie démarche de valeur. Ils conseillent, challengent, construisent la relation client. Ils ne sont pas des “ressources” interchangeables mais des pros à part entière, accompagnés dans leurs choix. Chez Softeam, chaque mission est réfléchie avec le collaborateur, pas imposée. 💬 Cliché 2 : “Tu changes de mission tous les 3 mois” Ce qu’on croit : instabilité, précarité, incertitude. La réalité : certains projets durent plusieurs mois, d’autres plusieurs années. Et surtout, ils se construisent en fonction des aspirations du consultant, de ses envies de montée en compétences, de techno, de secteur. On parle de mobilité choisie, pas de zapping imposé. 💬 Cliché 3 : “En mission, tu es seul dans ton coin” Ce mythe est coriace : une fois chez le client, le consultant serait “déconnecté” de son entreprise. En fait, c’est tout l’inverse. La mission, ce [...]
Articles - 10min
La position du Scrum Master dans un cadre d’agilité à l’échelle
Dans un contexte de transformations constantes, le rôle du Scrum Master suscite de nombreuses interrogations. Tandis que certaines entreprises s’interrogent sur la pertinence d’un Product Owner dans un projet classique, d’autres remettent en question la place du Scrum Master, notamment dans des cadres à l’échelle. Des remarques telles que « Pourquoi un Scrum Master alors que nous utilisons SAFe ? » ou « Nous faisons des produits, pas de Scrum, c’est inutile » illustrent cette confusion. Pourtant, ces perceptions négligent l’essence même de l’agilité : accompagner les organisations dans leur adaptation à un environnement complexe et changeant. Dans un monde où les produits sont devenus le centre de toutes les attentions et où le Lean regagne du terrain, l’agilité est souvent perçue comme un luxe dispensable alors qu’elle est précisément le levier nécessaire pour naviguer dans cette incertitude. Le rôle du Scrum Master, loin de se limiter à l’application d’un framework, agit comme un catalyseur de la dynamique d’équipe et de la collaboration. Chaque cadre d’agilité à l’échelle – SAFe, Scrum@Scale ou LeSS – interprète cette fonction à sa manière, influencé par des priorités stratégiques et des contextes opérationnels spécifiques. Par exemple, dans SAFe, le Scrum Master peut endosser des responsabilités élargies liées à la coordination inter-équipes, tandis que dans Scrum@Scale, son impact s’étend à l’alignement organisationnel. Comprendre ces nuances permet non seulement de valoriser ce rôle, mais aussi de démontrer que, dans un monde toujours plus complexe, le Scrum Master reste une figure clé pour insuffler une agilité pérenne et orientée vers la réussite collective. Le Scrum Master dans [...]
Articles - 8min
Quantique & cybersécurité : un nouveau défi à anticiper
Jean-Christophe Zapalowicz, notre expert cybersécurité chez Softeam, a co-rédigé un article avec Christian d’Orival chez CryptoNext Security pour faire le point sur ce que l’arrivée de l’ordinateur quantique implique pour la cryptographie. Découvrez leur analyse ci-dessous. Aujourd’hui, le quotidien d’un certain nombre de RSSI tourne beaucoup autour : des nouvelles règlementations européennes, telles que NIS2, DORA ou le Cyber Resilient Act (CRA), se traduisant par des analyses d’écart, des plans d’action et la mise en place de projets ; des sujets de souveraineté et de dépendance, actualité géopolitique oblige. Pour autant un domaine de recherche, un peu moins sur le devant de la scène que l’Intelligence Artificielle, continue ses avancées et doit absolument rester dans nos radars : l’ordinateur quantique. Est-ce un mythe ou une réalité ? Pour être tout à fait clair sur l’état des recherches, on ne peut pas formellement garantir avec certitude à ce jour qu’un ordinateur quantique pertinent pour la cryptographie (ie. ayant les capacités et la stabilité nécessaires pour implémenter les algorithmes que nous allons évoquer ci-dessous) verra le jour. En effet, il reste de nombreux défis de recherche en physique, en ingénierie et en informatique qu’il faudra réussir à surmonter. Toutefois, il est essentiel, à l’instar des agences de sécurité, de noter : L’existence de démonstrateurs produits disposant de plus en plus de « vrais qubits[1]». En outre, les équipementiers d’ordinateurs quantiques présentent des feuilles de route très précises prévoyant quasiment tous, la disponibilité d’un ordinateur quantique suffisamment puissant pour “ casser” la cryptographie asymétrique au plus tard en 2033 L’optimisation constante des algorithmes utiles (tels que [...]
Articles - 5min
Éco-conception web : pourquoi tout commence par le design ?
« Éco-conception web : pourquoi tout commence par le design ? » , un article rédigé par Antoine Chauveau, directeur de l’offre éco-conception et directeur Softeam Agency. L’éco-conception web est souvent perçue comme une responsabilité technique, liée au choix des infrastructures et à l’optimisation du code. Pourtant, les designers jouent un rôle clé dès les premières étapes de conception. Les solutions proposées par les designers influencent directement l’impact environnemental d’un site : choix des couleurs, typographies, interactions, structuration des blocs et des contenus… Chaque élément a une incidence sur la consommation de ressources et l’expérience utilisateur. Cet article explore comment les designers peuvent intégrer l’éco-conception dès la phase de conception pour créer des interfaces à la fois légères, accessibles et durables. Veillez à éviter certains blocs énergivores dans la conception et à les remplacer intelligemment. Tous les éléments d’une interface n’ont pas le même impact environnemental. Certains blocs interactifs ou gourmands en ressources ralentissent le site et augmentent sa consommation d’énergie. Voici quelques exemples de blocs à éviter et leurs alternatives plus sobres : Blocs vidéos en arrière-plan → Remplacez-les par une image statique optimisée. Les vidéos en autoplay consomment énormément de bande passante et d’énergie. Une alternative efficace est d’utiliser une image de prévisualisation légère ou un fond généré en CSS, et de ne charger la vidéo que si l’utilisateur interagit avec un bouton « Lire ». Carrousels classiques (images, textes, témoignages, etc.) → Remplacez-les par une mise en page statique ou un affichage progressif. Au-delà des carrousels d’images, les sliders de témoignages, de produits ou d’articles sont aussi problématiques. Ils chargent [...]